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 N'est pas peur de la mort.[RP Soutenu ouvert]

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Spirit Black
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N'est pas peur de la mort.[RP Soutenu ouvert] Empty
MessageSujet: N'est pas peur de la mort.[RP Soutenu ouvert]   N'est pas peur de la mort.[RP Soutenu ouvert] EmptyJeu 8 Déc 2011 - 14:54

Éclat rencontra sur sa route un pokémon qui avait peur de la mort,elle lui raconta cette histoire:

"Il récupère plus au moins vite on fonction du climat. Fair s’affaiblie rarement physiologiquement mais moralement il souffre énormément.Il est généreux, charitable, offre sa vie aux pokémons. Brave, il n’hésiterait pas à mourir pour un pokémon. Bon d’esprit, il a l’âme d’un héros. Fair secours des victimes, ce sacrifie ont cas de besoins. Ces services, il les donnent aux démunis .Il partage sa nourriture, ces biens. Courageux, il affronterait toutes les intempéries pour sauver un pokémon. Fair considère tout les êtres comme c’il faisaient parties de sa famille. Il n’a pas de chouchou, pour luit tout le monde est au même rang. Fair adore la nature, la voir, l’entendre. Il n’éprouve, ni haine, ni colère. Fair ôte ces jugements pour aider un pokémon. Il n’aura en aucun cas l’idée de s’attaquer à un bon. La violence, il la réserve que pour les méchants. Fair culture ces notions de bienfaisances. Il veille à ce qui ne les trahissent pas. Aimable, il en vas du futur, il n’oubliera jamais le présent et le passés.

Fair est un galopa dans le destin fut chambouler. Il n’était qu’un ponita à la chevelure longue enduit d’une coulée ardente d’un feu éblouissant. A cette époque, dans ces yeux dormait le feu qu’il avait en luit. Ces pupilles étaient le charbon, noir en attente d’être allumé. Ces sabots étaient d’un bleu azur, profond comme le ciel au coucher du soleil. Son corps avait une teinte belge qui dans l’ombre devenait d’une couleur cendre. Dans la nuit ces flammes rougeoyées d’une brillance tel que la lumière de l’aube. La suie qu’il fabriquait éclairer d’un orange tendre les arbres qui l’illuminer. Embellissant les alentours d’un parfum d’été avec la rosée de la sécheresse. La chaleur de son feu réchauffait l’espace qui était d’un froid glacial. Geler il tomba épuisé de fatigue et creuser par la faim. Il ne c’était pas nourrit depuis un longtemps. Fair buvait sa dernière gorger du breuvage minéraliser. Quand il fut prit de coups rapides dans son coeur. Le rythme qui prenait aller beaucoup plus vite que si il avait galoper pendant des semaines. Le jour faisait désormais place à la nuit. Il avait passés un pont qui lévitait dans le vide .Il était tellement long que Fair semblait l’avoir franchie tout le temps d’une autre vie. Sa grandeur fessait la taille de toute son imagination. A son entrée il y avait une faille menant à la terre d‘en bas. Il avait dut sauter de pierres en cailloux et déplacer des rochers pour arriver au fin fond de la montagne. Il y avait là deux crevasses ..Le paysage alentour était une gigantesque prison. Les barreaux de fer former des cages, un portail spectral

Fair passa entre les chaînes métalliques bloquons l’axés des portes. Il brisa les maillons en les fondant de ces flammes. Il réussit à les franchir, devant luit s’offrait un coffre blindé recouvrant tout un horizon, il en était son fin, impossible de passer par les cotés, ni en le grimpant, il s’étendait jusqu’à la lune de ce monde. La terre trembla, le mur pénétra dans le sol, soulevant sous son poids des collines qui ne tardèrent pas à devenir des chaînes de montagnes séparaient par de profond canyon. Le séisme s’estompait, laissons place à une gravité pesante. Fair était obliger de ramper pour l’atténuer. Il put enfin marchait normalement, quand un pokémon aux attraits d’une femme se posa au prés de sa tête. Elle était polit, elle l’avait aidé Fair a ce redresser.. Elle donna à Fair de quoi ce rassasier, elle cita qu’il n’était pas encore mort et qu’il devait continuer à nourrir son âme. Fair mangea les brins d’herbes baigner dans une sauce de feuilles. Des copeaux de bois, des rameaux fragmentés avec une crème de mousse. Il goûta l’eau qui provenait d’une source naturelle. Lécha les résidus minéralisaient de magnésium, calcium, sodium… Fair remercia de luit avoir prêté une tel attention pour qu’il se délecte de ce festin. Elle luit montra doue provenait ces aliments,ils surgissaient des prairies environnantes. Fair comprit aussitôt qu’il avait affaire à sa sortie.

Le temps semblait s’écouler longuement, le vent ne souffler pas, il rallait. Dans les fleuves, les courant étaient glacées, ils bougeaient comme des icebergs. Fair ne ce sentait pas motiver, il ce désintéressait aux choses. L’air était absent dans certains endroits, l’espace laisse même passer le vide. Des milliards de troues creusés la terre, elle la ronger de partout, l’enlevant des morceaux de peine. Le feuillages des arbres tombait au ralentit. La marche qu’il enjambait était lente, le paysage était le même. Tous les moindres détails ce ressemblait, ils les revoyaient sans cesse à en tomber malade. Fair tourna les yeux, il vit encore cette image fixe. Il ce surprit a bailler, le sommeil l’attaquait. Il se réveilla en sursaut .On devait être éveiller, laisser le voile se recouvrir sur soit. Une bâche, tapissait le ciel, les nuages aux mêmes formes étaient attachés au bleu comme les lumières étoilées au noir. Le sol s’affaissait sur son poids, ces mouvements craqués la roche de fissures. Elles s’étendaient en toiles d’araignée, les fibres de terre étaient fragile, se cassaient en débris. Elle coller, bientôt Fair ne put bouger. Fair se sentait hostile, il fut envahi d’exécration dosé d’aversion, la rage monter en luit. Il détester ce sentiment, la Haine le toucher pour transmettre son mot. Fair était colérique, il ne penser qu’a frapper quel qu’un. Il ce tapa le cerveau pour éclaircir son esprit. Sa vision en fut troublée. Il ne pleura pas ces larmes étaient sèches de puis que ces parents moururent pour Seikan .Le goût amer revenait toutefois, le chagrin faisait surface en luit. .

Arriver à cette endroit une criante douleur poignarda Fair. Un dommage affectif brisa l’intérieur de son corps. Fair tomba à la renverse sur les rebords d’un gouffre. Du sable y tomba, et s’éboulèrent bruyamment dans l’eau salée de l’océan au fond du gouffre. Seul, personne, Fair blessait dans ces flaques de pitiés. Attendait que la mort vienne le chercher. Rien ne vint, maudit était Fair. Strictement désertique était le domaine . Les cellules de Fair ce rétractèrent sur sa peau, la chaleur de sa crinière s’affaiblissait. Le cœur ralentissait sa cadence. Son ouie s’éteignit, ses paupières se fermèrent closons sa vue. Sa respiration la quittait, les membranes de la Souffrance étreignirent son âme. Son esprit perdait de sa lucidité,incapable de réfléchir ,de penser. Fair n’avait plus son livre arbitre, il le lâchait. Il devint pale, après être passer du rouge au violet. Fair sur le versant des chaînes des montagnes, il dévala le plateau du désert, chuta. La menace fit bouger Fair. La Peur monta dans Fair. Elle se méfia de sa victime, causa chez Fair la chair de poussifeu. La glace immobilisa les membres de Fair,il en ut les chocottes. Un frisson ardu passa sur Fair, les dernières ressources d’adrénaline s’estompaient. L’air claquait sur ces joues, le sifflement enduit par ces oreilles passait du gave à l’aigue. Fair aborder l’accotement des limites de son subconscient. Il nageait dans l’air, ces souvenirs défilèrent en son soit. Fair marteler le vent, il s’approcher du sol où régner la mort. Il y trépassera, giserait étendu, plat sur son dernier lit mortuaire. L’unique peur massacrait son moral, brisait le passés, ouvrait sur le futur. Le présent commencer à le manquer, Fair était à une centaine de mètre du sol, quand un champ de gravitation le stoppa dans le temps. La frayeur quitta Fair, doucement laissons son empreinte derrière elle. Le champs de force n’avait pas freiner sa chute, il avait enlevé les fils du temps pour un instant. Jusqu'à que la mort vienne les retissaient et les tireraient en lâchons sa prise sur le sol. Ce délecterait de sa chair, lécherait ses os jusqu’à qu’il devienne une fine poussière blanchâtre .Tel était la reine de la dimension du crépuscule.

La Mort arriva, elle congela l’espace autour d’elle, fit hiberner tout les traces de vie sauf la sienne et celle de Fair. Elle observa ces germinales, vieillit l’age de Fair. Elle observa les organes poussaient sur son corps squelettique. Les orifices de son nez s’aplatir en une lettre dite par les humains v .Les lèvres disparurent, la dentition se détacha, la mort perdit ce quelle avait voler à Fair. Elle redonna sa force, elle accentuer la mort de Fair. Il c’était vu plusieurs fois mourir. La Mort luit reprit sa vie, le la luit remis, ainsi de suite. Elle attendait que Fair craque, supplier la Mort de l’épargner, ce punir, promettre de vouer la mort. Fair se taisait, il ne parlait point, garder le silence. Son visage n’exprimer aucune émotion, les mots maléfique ne faisait apparemment pas d’effet. Fair ce laisser éteindre , il ne lutait pas. La Mort haïssait cela, l’espoir que dégageait Fair, l ‘amour qu’il éprouvait pesaient sur la Mort. Elle cousu les ficelle du temps, les prit, l’étendit comme un élastique, utilisa Fair comme flèche, les fil comme la corde d’un arc. Fair atterrit sur le sol éclata, la paroi rocheuse, Fair avait lancer une flamme dans l’espoir d’être protéger par une boule de feu. Tout d’un coup Fair se trouva dans le vide ,un néant,pas de paysage que du noir. Il se retrouva sur Seikan dans la chaîne des montagne là où il avait faillit mourir, il s'avança s'aventura au prés du reflet de l'eau, il avait vaincu la mort."

Soudain un pokémon s'approcha.
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