La nuit d'une rencontre [Pv Rayzaka]

Seikan...
Seikan...

Ce nom...cette île, beaucoup s'attardaient à me la décrire lorsque j'habitais la forêt. Tous autant qu'ils étaient, ils disaient que ce lieu était d'une beauté sans pareilles, de l'eau semblable à l'orbe bleu, des prairies resplendissante comme l'émeraude et des forêts si verdoyante, qu'une fois à introduit à l'intérieur, l'envie de la quitter ne vous anime jamais. Je ne les croyais pas à l'époque, tout cela me semblait trop beau pour être vrai! Je me souviens encore, des Azumarills qui partaient de la rivière, dont l'instinct de reproduction les poussait vers l'île en question. C'était dans leur gênes, voila la seule explication que j'ai pu obtenir, moi, qui ne peux comprendre de telles pulsions migratrices. C'était le bon temps, la belle vie où tout les pokémons me souriaient amicalement, où tous voulaient venir jouer avec moi à travers les bois.
Puis il y a eu ce jour, ce déluge étrange qui ruina mon existence. J'étais coupable, coupable de tout et de n'importe quoi, y comprit même de la dérivation de Seikan qui apparemment, et ça je l'ai apprit plus tard, eu lieu le jour même de la catastrophe dans la forêt. Allez savoir pourquoi le temps était complètement déréglé...
Et me voila, enfin présent sur la dite île de reproduction. Je dois dire qu'elle est pour l'instant à la hauteur de mes espérances, aussi envoûtante que dans les histoires d'autrefois! Pourquoi n'y étais donc pas venu auparavant? Alors qu'une simple téléportation aurait suffit? Quoique non...Ou peut être, une traversée des airs aurait sans doutes amplement suffit à me la faire découvrir mais non! Bref, je suis là désormais, bien décidé à y séjourner pendant un long moment!

Le soleil se couchait dans une peinture merveilleuse où les tons les plus chauds côtoyaient de près les couleurs les plus froide avec cette douceur infini des crépuscules. Ma petite virée à travers l'île m'avait amené jusqu'aux grandes plaines, et j'y voyais là, une multitude de pokémons aux couleurs diverses et variées: quelques Noctali, quelques Zigzagtons et autres espèces appréciant les surfaces dégagées. A cette vision, mon sang ne fit qu'un tour et le coeur qui anime mon être, fut empli d'une grande panique. En effet, je ne pus m'empêcher de changer de forme, prenant la simple apparence d'un petit Evoli puisque cette espèce était assez bien représentée par tout ceux dont le désir ne se bornait qu'à l'évolution. Ainsi, je passais inaperçu, totalement inaperçu! Et la ballade entre tous aurait put être parfaite, si chemin faisant, je n'avais pas croisé le sillage d'un groupe de Mangriff. Percutant l'un d'entre eux au passage, il n'eu guère qu'une ou deux secondes avant que ceux ci me poursuivent pour outrage de catégorie impardonnable. Je dus courir, courir et encore courir, avec un handicap important. En effet, si jamais je devais utiliser une attaque impossible pour un Evoli, aussitôt j'allais être démasqué et les ennuis encore suis moi allaient tombés. Alors, même dans les situations périlleuses telles que celles ci, valait mieux rester incognito. Quitte à être blessé...

Et la course poursuite dura longtemps, jusqu'à ce que je percute un pokémon plus grand que moi. Il faisait nuit désormais, la Lune luisait derrière lui en renforçant d'autant plus le caractère imposant de la créature. Ses yeux luisaient, rouge comme le sang, terrifiant le pauvre petit pokémon que j'étais et son visage, me paraissait être aussi noir que les ténèbres.

*Cette fois ci, je suis foutu...*

[Ouais bon, je ferais mieux au prochain post! Et je vais surement changer de mode d'écriture ^^]

[Voila, si quelque chose ne te plait pas je changerai ^^]

Une nuit sombre, les nuages cachait la douce lumière de la lune, on ne voyait presque plus rien, je sautai d'arbres en arbres avec méfiances, c'était la nuit parfaite pour les prédateurs, un piaf pourrait arriver et me chopper ni vue ni connu. Enfin je suis loin d'être un Pokémon sans défense. J'avais finit une mission de secours, un pauvre petit Ponchiot qui avait perdu sa mère dans une grotte, au début ça avait été simple, mais je suis retombé sur ses gars de l'équipe "Vent Ténébreux"... Ce n'est pas le genre de personnes que l'on aime rencontré, surtout quand on est rivaux avec eux. Mon bras gauche me faisait encore mal, je ne pouvais pas le voir, mais je suis sur que du sang coulait le long, teintant ma peau verte de la couleur rouge. Des hurlements de loups, j'hésite, Grayhena ou Démolosse? L'odeur du sang devait attirer les chasseurs nocturne. Il fallait que je trouve un endroit, soit une planque, soit une source d'eau. Après quelques minutes de recherche je suis tombé sur une source d'eau. Je me suis approché d'elle, la lune refaisait surface, les nuages laissèrent passé quelques rayons qui se reflétèrent sur l'eau aux éclats de cristal. C'était magnifique, mais je n'avais pas le temps d'observer cette beauté de la nature, je plongea mon bras et le lava du sang séché. Puis je prit un bandage dans mon sac et serra ma blessure avec le tissu blanc. Un bruit, les buissons bougeait brièvement.

Je fit mine de rien, mais j'étais prêt à prendre la fuite, deux... Non trois, Des Grayhenas, j'ai de la chance, j'aurais eu plus de mal si c'était les chiens de feu... Je passa ma main dans le sac, touchant l'une des explograine de mon sac, je l'attrapa, puis une deuxième. Je prit une grande inspiration, les trois loups sautèrent vers moi, m'encerclant, je lança deux explograine touchant un des loups, l'autre esquivant l'explosion, j'avais tout de même une grande faille dans leur assault, je partit sur ma droite. Un des Pokémon me sauta dessus, je le renvoyai avec une écosphère, il atterrit sur l'autre, bon je gagnais de l'avance sur eux. Je prit la fuite, les trois me poursuivait au loin, jamais il ne pourrait me rattraper ce soir. Sauf qu'un quatrième loup sortit de la végétations, en face de moi. Je posai mon pied au dessus de son museau et prit mon appui sur lui, je fit une impulsion vers l'avant, esquivant avec aisance. tout en faisant un salto avant, un peu pour la frime je dois avouer, pour montrer aux loups qu'ils n'ont pas affaires à n'importe qui. Sauf que la, le loup s'arrêta, en face de lui se trouvait une jeune évoli. Je ne dois pas interférer dans la loi de la nature, c'est normale, il chasse, je n'ai pas le droit de l'en empêcher...

Je me suis retourné et je suis reparti vers l'évoli, le Grayhena ouvrai la gueule pour ne faire qu'une bouché du petit Pokémon. J'utilisai vive-attaque pour augmenter ma vitesse, j'ai pu attraper l'évoli et l'extirper de ce mauvais pas, la gueule du loup se refermant, ses dents frôlaient ma pattes arrière gauche. Le prédateur releva la tête et vit tout un groupe de Mangriff, Je me suis caché dans un buisson avec l'évoli, observant la scène.

"Ne dites rien, je peut vous tirer de la..."

Les mangriffs hésitèrent, puis il partirent, ils étaient tout comme nous deux sur le territoire des loups. Si ils voulaient éviter tout combat il n'avait qu'à fuir, il n'avait pas de bonne raison de rester, ou en tout cas pas d'assez bonne pour se battre. Les loups les observèrent fuir, ils étaient cinq maintenant, ils se mirent à me chercher, leurs odorat était très développé... Ils partirent à l'opposer de nous, mon plan avait marcher, je me suis mit à fuir dos aux loups, l'évoli sur le dos. J'avais planté un pic argent, avec mon vieux ruban, mon odeur en était imprégné, pendant que celle de l'évoli était mélangé à la mienne, il préférait me chasser que de chasser le petit Pokémon. Enfin j'approchais d'une plaine non loin de la guilde. Il y avait peu de danger et je savais qu'ici, si j'avais un problème, je pourrais trouver de l'aide. Je reposai l'évoli dont le nom m'étais encore inconnu. Puis je me suis écroulé par terre.

"Ce n'est pas passé loin..."

Je soupirai un grand coup, relevant mon dos pour observer l'évoli, plongeant mon regard dans le sien, son regard... Est étrange... Non ce n'est que mon imagination.

"Je m'appelle Lorion, Explorateur pour vous servir... Puis je vous demandez votre nom?"

Son apparence me laissait penser que c'était une Evoli femelle, dans la pénombre je ne pouvais être sur, mais restons quand même une minimum polit.