Pony ~ [fiche terminée]

Race : Ponyta. Dans la mesure ou elle n'a pas de maître, j'estime qu'elle n'a pas de nom specifique =3
Type(s) : Feu
Sexe : Féminin
Âge approximatif : Enfant. Et encore, un peu bébé...

Description physique et mentale :
Il n'est sans doute pas utile de le rappeler, mais les Ponytas sont des poulains Galopa. Ces pokémons ont l'apparence de chevaux rustiques et puissants, à la robe généralement blanche ou beige. Leur queue et leur crinière sont constituées de vives flammes dont la température ressentie varie pour chaque individu : Délicatement tiède pour les amis, mais d'une chaleur dévorante pour leurs ennemis! Cette race de Pokémon est physiquement particulièrement remarquable pour ses sabots. On dit d'eux qu'ils sont plus résistants que le diamant. Ils peuvent fracasser le crâne de l'ennemi lors d'un combat d'un coup de patte bien placé, et ils font des bonds impressionnants compte tenu de leur taille et de leur poids... Jeune poulain, le Ponyta est faible et fragile. Encouragé par sa mère et par le troupeau, il se muscle et se fortifie rapidement, et s'habitue vite au rythme soutenu des adultes. En cas de pluie, l'eau s'évapore autour d'eux sous la chaleur et l'on peut alors apercevoir d'étranges nappes de brouillard qui semblent brûler de l'intérieur...
Cet animal est loin d'être un pokémon d'agrément. Les Ponytas et Galopas demandent beaucoup d'attention et d'entretien, il leur faut de l'espace pour galoper en liberté et un dressage soigneux, sans quoi ils seront malheureux et chercheront toujours à retrouver leur liberté. Rappelons enfin qu'une des différences flagrantes entre un Ponyta et un Galopa est la corne qui pousse au milieu de leur front quand ils évoluent.

La Ponyta que vous voyez là est un petit animal très craintif. A peine sevré, sa mère étant morte tragiquement, elle erre entre plaines et forêts, évitant les pokémons carnivores qui pourraient vouloir croquer ses cuisses tendres. Effrayée d'un rien, curieuse de tout, elle ne connait rien à la vie et n'a strictement aucune experience en combat. En fait, sa spécialité, c'est... la fuite. En cas de danger, un coup de sabot, un coup de dent, et elle file au (petit) galop! dans l'immédiat, elle se contente des pousses tendres qu'elle peut trouver à manger, mais très clairement, elle manque de nourriture... Sans le lait de sa mère, ses chances de survie sont bien réduites. Si elle avait de la chance, peut-être que des humains passeraient sur l'ile et la trouveraient... Mais il ne faut pas y compter.
Ignorante et candide donc, elle est un peu comme Bambi. Mais sans sa mère, sans son père et encerclée de chasseurs dans une forêt sombre et profonde, si vous voyez le tableau.
Faible et fragile, un peu réservée, elle n'est pas vraiment du genre à se jeter tête baissée à l'aventure. Non pas qu'elle manque de courage, loin s'en faut! (quoique?) Mais il faut bien l'avouer, pour l'instant, elle n'est qu'une proie de choix pour les prédateurs du coin et la prudence est de mise. On peut le dire, elle est très malheureuse. Au delà du fait qu'elle a perdu sa mère, elle ignore où est passé son troupeau. Elle est terriblement seule, et il n'y a rien de plus affreux pour un animal voué à vivre en groupe. Elle va donc de ci, de là, de son petit pas encore un peu flageolant par moments, en essayant de limiter la vivacité de ses flammes et de ne surtout pas se faire repérer. Oh, si seulement elle trouvait de l'aide! Si seulement elle retrouvait son troupeau! Si seulement quelqu'un pouvait veiller sur elle... On peut le dire, elle est têtue : elle tient à la vie, et même au cœur du malheur, elle avance à son rythme, régulièrement, en espérant encore et toujours que les choses vont s'arranger. Naïve? Mais puisque je vous le dit...!

Histoire :
Ponyta est née dans la plaine, comme bien des poulains avant elle. Dormir, téter sa mère et survivre ont été ses principales activités pendant les quelques semaines de sa vie. Cela semble vide et facile dit comme ça, mais il y a tant de choses à apprendre dans la vie sauvage! Entre les endroits à éviter, les choses à faire et à ne pas faire, savoir repérer les prédateurs et les endroits paisibles, ... et puis bien sûr, apprendre à marcher, puis trotter, puis galoper, jouer avec les autres poulains, se protéger du froid et de l'humidité... Tous ces tracas que nous, les humains, avons oublié depuis bien longtemps.
C'était donc une vie bien remplie, mais elle était cependant paisible pour elle. Toujours entourée et chouchoutée, elle n'avait jamais faim et n'avait que peu d'occasions de s'ennuyer. Sa mère veillait sur elle avec toute la tendresse du monde. Pour la petite, l'univers se résumait à cela : sa mère, son troupeau, courir, manger, dormir, jouer. Et se soir, alors que la harde s'arrêtait enfin pour se reposer, dormir aux côtés de sa mère, l'estomac plein et la tête dans les étoiles... Un peu idyllique... Un peu trop même.

Il y a quelques jours... quelques semaines? Difficile à dire, les jours passent et se ressemblent tellement... Et puis, à son âge, vous croyez vraiment qu'on a une quelconque notion du temps?
Enfin... Il y a peu, disons, alors que le calme semblait régner dans la prairie, que le vent attisait les flammes et que les fleurs ravissaient les insectes environnants, un Galopa releva vivement la tête. Puis un autre. Puis encore un... Cou dressé, oreilles droites, bientôt tout le troupeau fut sur le qui-vive. La tension était palpable : Le vent avait amené sur eux une odeur que notre Ponyta n'identifiait pas, mais qui semblait mettre tout le monde en émoi. Les flammes de ses voisins frémissaient, leurs jarrets tremblaient, tendus à craquer... Tous semblaient attendre sans oser bouger. La petite Ponyta n'avait encore jamais croisé de prédateur et ne comprenait pas ce qui se passait, mais elle suivait le mouvement, avec la même inquiétude. Les adultes attendaient un craquement de brindille, un crissement de feuille... Maintenant que le vent avait tourné, l'attaque ne pouvait qu'être imminente.
Au premier geste brusque d'un adulte massif, qui avait sans doute aperçu quelque chose, tout le troupeau partit comme un seul et même être. Le fracas de leurs sabots sur la terre faisait trembler jusqu'aux feuilles de la forêt toute proche tandis qu'ils fuyaient dans une course aveugle qui n'avait qu'un seul but : la survie. Notre pauvre petite Ponyta ne sut jamais ce qui les avait attaqués exactement, et elle n'était pas assez stupide pour regarder derrière elle. Tout vibrait autour d'elle, l'air était rempli de torrent de flammes et de robes claires qui défilaient sous ses yeux, c'était tout bonnement indescriptible. Mais elle ne comptait pas prendre le temps de réfléchir : C'était déjà assez dur d'avoir le même rythme que les autres, la situation était plus qu'inquiétante, sa mère n'était pas à ses côtés et de petits hennissements hystériques fusaient ici et là. L'affolement gagna bientôt la harde et sans qu'elle comprenne bien pourquoi, elle se retrouva entrainée avec un groupe droit dans la forêt où ils se dispersèrent, tout à leur terreur instinctive, tandis qu'une autre partie du troupeau filait toujours dans les champs dans un galop effréné. Bientôt, elle s'arrêta. Plus de bruit autour d'elle... Plus de sabots qui heurtaient le sol... Aucun adulte pour lui donner un coup de langue encourageant... Les branches et la mousse qui crissaient sous ses pas... Épuisée par son sprint et les jambes toutes tremblantes, seule parmi les arbres, elle se terra dans un recoin sombre. Les hennissements affolés de ses compagnons, certains de peur, d'autre de douleur, lui parvenaient de la plaine à travers les troncs. Elle se recroquevilla un peu plus encore. Elle-même était terrifiée... Si seulement sa mère avait été à ses côtés, elle se serait sentie un peu rassurée... Qu'est-ce qui avait bien pu se passer?
Le soleil commençait à décliner et elle n'osait toujours pas bouger. Il lui semblait que la forêt étouffait tous les bruits pour finir par l'étouffer elle-même... Malgré le stress, l'épuisement eut raison d'elle, et elle s'endormit bien vite. A cet âge là, on s'endort... comme un bébé.

Au petit matin, le soleil piquetait le sol moussu de ses rayons et la rosée qui s'y était déposée brillait de mille feux. Il fallut un petit moment à Ponyta pour réaliser qu'elle était seule, et cette simple pensée la fit bondir sur ses jambes en la réveillant un bon coup. Jamais, au grand jamais elle ne s'était réveillée seule de sa (coutre) vie. L'angoisse! Elle avait faim! Où étaient les autres? Elle partit au petit trop vers la plaine où, elle en était sûre, tous ses compagnons l'attendaient pour repartir. Sa mère serait inquiète, elle se ferait gronder, mais tout finirait par rentrer dans l'ordre...
Elle en était à ce stade de sa réflexion quand elle franchit les derniers arbrisseaux qui la séparaient de la prairie. Mais elle ne vit rien. Pas de flammes... Pas de lumières au loin... Était-elle vraiment seule alors??
Ah, peut-être pas! Il y avait quelque chose là bas. c'était par terre, c'était blanc et rouge, c'était... Elle s'approcha avec une certaine méfiance. Elle sentait l'odeur du sang, et d'instinct elle détesta. Il y avait une autre odeur aussi, plus âcre, plus prenante. Une odeur de charogne, mais cela, elle ne le savait pas.
Plus près encore, elle identifia vaguement ce qu'était cette chose. Ça ressemblait a l'un des siens, mais sans feu. Ça trainait au sol et ça semblait percé à bien des endroits qui étaient rouges ou roses. Des objets blancs semblaient y être cachés ici et là. Elle n'avait jamais vu de cadavre, encore moins un cadavre de Galopa, et inutile de préciser qu'elle n'avait jamais vu un Galopa a moitié dévoré.
Elle resta indécise un petit moment, et ne trouvant rien d'intéressant ici, elle s'éloigna, en se demandant où étaient les siens...
C'est ainsi qu'elle vit sa mère pour la dernière fois.

Depuis ce jour, elle erre ici et là, à droite, à gauche. L'Ile est vaste et les dangers nombreux, et Ponyta survit grâce à sa vitesse de fuite et sa discrétion. Elle se nourrit de petites plantes, bourgeons, fleurs, tout ce qui est encore tendre sous ses dents et qu'elle arrive à digérer. Seule et désemparée, elle se méfie de tout et reste toujours aux aguets, que ce soit pour trouver l'un des siens ou pour repérer un prédateur...



des détails? :Les attaques les plus puissantes que les Ponytas et Galopas puissent posséder naturellement sont Déflagration, Rebond et Boutefeu. Mais au vu du très jeune âge de ce personnage, je pense qu'on va en rester au classique Vive-Attaque et Charge xD
Capacité Spéciale : Fuite.

Comment avez-vous connu le forum : Via un topsite tout ce qu'il y a de plus banal.

Je n'ai pas vu de taille d'avatar obligatoire dans le règlement, j'espère que le mien ira, sinon n'hésitez pas à me fouetter à mort prévenir!

Bienvenue, j'ai hâte de voir la suite ^^

Bienvenu !
Moi aussi j'ai hate de voir la suite ! =D J'aime bien ton ponyta !

Merci =3
Bon, je n'ai plus qu'à rédiger l'histoire on dirait! Vu son jeune âge, ça va pas être long xD

Il peu se passer beaucoup de chose en quelques années....


Bienvenue.

Je te rassure, ce n'est pas mon genre d'écrire trois lignes et demi. u_u

Bienvenue ^^

Juste un truc: le "à suivre" dans l'histoire, ça veut dire que c'est pas finis ou que la suite sera "in rp" ?

Merci!
Que je n'ai pas fini, sans quoi j'aurais retiré le "U.C." du titre =3

[U.C.] ??? J'imagine que ça veut dire "en cours" ??? Bon, bah désoler, je connaissais pas...Stop flood, tu dira juste quand tu as finis Encore sorry ^^'

Whellcome !

UC = Under Construction, "en construction" quoi .

Fiche terminée ~
Oui, je lui ai deja expliqué par MP xD

Je valide, bon jeu !